Après le typhon qui a presque entièrement détruit son séminaire, M. l’abbé Chazal reprend courageusement son œuvre, comme on peut le voir sur cette photo qu’il vient de m’envoyer.
Je vous serais reconnaissant de réciter une dizaine de votre chapelet pour que Dieu lui envoie les vocations qu’il mérite et dont l’Asie a tant besoin.