Le synode sur l’Amazonie : un nouveau coup de pioche dans la doctrine catholique

Le Pape a convoqué pour octobre prochain un synode sur l’Amazonie. Voici un résumé des points forts du synode suivi de nos remarques. Ensuite, quelques articles du journal La Croix et d’un site Le terrorisme pastoral.

  • Le pape a demandé que le synode étudie la possibilité de l’ordination sacerdotale d’hommes mariés. Uniquement pour cette région, bien sûr, et uniquement en raison du manque dramatique du prêtres.

Notre commentaire. La révolution suit une méthode désormais bien rodée, celle de faire accepter les étapes révolutionnaires mises au point dans les loges, par le moyen d’un envoûtement psychologique sentimental. L’Amazonie s’y prête bien puisque une multitude de faux théologiens autoproclamés « théologiens de la libération » a ému les occidentaux sur la pauvreté et l’exploitation des peuples amazoniens.

Ayant fait accepter le principe de l’ordination d’hommes mariés là où manquent des prêtres, il n’y aura plus qu’à étendre cela progressivement à d’autres régions, y compris en Europe où l’on ne peut pas dire que les prêtres ne manquent pas.

  • Le synode devra étudier de confier à des femmes des ministères ecclésiastiques.

Même méthode, mais avec, à terme, un effet bien plus grave. L’ordination d’hommes mariés est une atteinte à la dignité sacerdotale. Confier des fonctions sacerdotales à des femmes est contraire au dogme.

Par cette méthode psychologique sentimentale, les ennemis de l’Église paralysent la raison, la foi, la théologie. En effet, s’il y a un problème sacerdotal en Amazonie, les remèdes sont connus : il faut faire revivre le sacrifice, le zèle missionnaire, le foi et l’esprit de foi, il faut prêcher le salut, le rachat, la grâce. Toutes choses détruites par Vatican II et, plus profondément, par le modernisme.

  • Le synode devra étudier la mise en place de l’écologie, de l’union avec la nature, etc.

Il s’agit là de la gnostique et kabbalistique de remplacement de notre sainte religion catholique. Sous sa forme prétendument catholique, cette gnose, s’appelle le modernisme, c’est le culte des énergies spirituelles qui surgissent en l’homme. Sous sa forme radicale, c’est le culte des énergies vitales du cosmos.

Les ennemis de l’Église ayant fait admettre le modernisme par pratiquement toute la hiérarchie ecclésiastique peuvent maintenant pousser leurs pions avec cette pseudo religion appelée « écologie ».

Ceci est évidemment encore plus grave que les prêtres mariés, que le faux sacerdoce des femmes, puisqu’il s’agit de remplacer la sainte Trinité par la force cosmique à l’oeuvre dans le monde.

  • Le synode devra lutter contre l’exploitation des indiens par le néocolonialisme capitaliste.

Voilà qui est bien vrai. Les indiens d’Amazonie sont effectivement exploités et détruits par des capitalistes qui n’hésitent devant rien pour s’approprier leurs richesses. Contraception massive, stérilisation des femmes à leur insu sous couvert des soins de santé, expropriations, déportations. rien n’y manque, comme les indiens d’Amérique du Nord furent exterminés par l’alcool, par la guerre, par les déportations dans des « réserves ».

Mais là où la Révolution ricane d’un rire démoniaque, c’est que les « théologiens de la libération » sont dans sa main. Ces « théologiens » dénoncent les effets, mais se gardent bien de nommer les vrais responsables. Bien plus, ils ont adopté la doctrine de ces responsables et leurs méthodes, comme on l’a vu ci-dessus. Et, une fois que, avec l’aide de la hiérarchie de l’Église, pape en premier, les énergies vitales du cosmos seront adorées comme divines, la Révolution sacrifiera au nom de ces énergies tout ce qui s’oppose à elle, pour le plus grand profit de Satan et de ses complices, les capitalistes.

  • Un gros méchant, le président brésilien Jair Bolsonaro, s’oppose à ce « bon et généreux » synode. Oh, le méchant !

Notre commentaire. Là, c’est la mise en œuvre de la méthode droite / gauche, extrême-droite / extrême gauche, méchant contre bons. Le pape, les évêques, les cardinaux, les « théologiens » de la libération ne peuvent être que des bons à soutenir puisqu’ils sont contrés par un méchant exploitant du peuple. C’est d’autant plus facile que l’exploitation est réelle.

Comment voulez-vous que les bons chrétiens échappent à une telle machination ?


Pour preuve, deux articles du journal ultra moderniste La Croix et deux articles du site Le terrorisme pastoral. Le premier article énonce bien les enjeux. Le second montre que cette révolution devra s’appliquer à toute l’Église et pas seulement à l’Amazonie. Le troisième et le quatrième montrent que ce synode est la mise en œuvre de la « théologie » de la libération.

Synode sur l’Amazonie, l’ordination d’hommes mariés en débat

Présenté lundi 17 juin au Vatican, le document de travail du Synode sur l’Amazonie, convoqué pour octobre, suggère l’ordination sacerdotale d’hommes mariés pour assurer les sacrements dans les zones les plus reculées. Un exemple du visage plus inculturé que l’Église veut avoir en Amazonie.

  • Journal La Croix Nicolas Senèze, à Rome, le 17/06/2019

Ce n’est qu’une « suggestion » mais ses mots ont été soigneusement pesés. « Tout en affirmant que le célibat est un don pour l’Église, il est demandé, pour les zones les plus reculées de la région, d’étudier la possibilité d’ordinations sacerdotales d’anciens, de préférence indigènes, respectés et acceptés par leurs communautés, pouvant même avoir une famille établie et stable, afin d’assurer les sacrements qui accompagnent et soutiennent la vie chrétienne. »

Certes, le mot « viri probati » (hommes qui ont fait leurs preuves) n’est pas mentionné. « Une expression trop utilisée », explique le cardinal Lorenzo Baldisseri, secrétaire général du Synode, qui présentait, lundi 17 juin au Vatican, le document de travail sur lequel les participants du Synode sur l’Amazonie débattront du 6 au 27 octobre.

Un débat qui devrait être vif notamment sur l’ordination d’hommes mariés tout comme sur la proposition d’« identifier le type de ministère officiel qui peut être conféré aux femmes, tenant compte du rôle central qu’elles remplissent aujourd’hui dans l’Église amazonienne ».

Ces propositions sont à remettre dans le contexte de cette « Église au visage amazonien et missionnaire » qui se met à « l’écoute des peuples et de la terre » que décrit le document. Pour le préparer, le Réseau ecclésial panamazonien (Repam) a organisé ces derniers mois 260 « temps d’écoute » rassemblant 22 000 personnes à travers toute l’Amazonie : sa synthèse nourrit largement le texte proposé, identifiant ces « cris de la terre et des pauvres » auxquels l’Église est invitée à se mettre à l’écoute.

Dans la logique de Laudato si’, il dresse en effet un tableau où « tout est lié », mettant en rapport les différentes menaces contre l’environnement et les peuples : destruction de la forêt, migrations, urbanisation et ses conséquences sur la famille et les communautés ou l’éducation, corruption. Ni les « grands intérêts économiques, avides de pétrole, gaz, bois, monocultures agro-industrielles » ni un « conservatisme écologique qui se préoccupe de la biomasse mais ignore les peuples amazoniens » ne sont épargnés.

Face à cela, l’écologie intégrale est mise en avant comme solution, avec une pointe sur la défense de la vie « menacée de destruction et par l’exploitation de l’environnement », comme par la destruction des cultures des peuples amazoniens.

« Les peuples indigènes d’Amazonie ont une “sagesse ancestrale”, un style de vie où tout est lié : ils ont un sens du lien à la transcendance et à la nature, à la communauté et à la famille, explique le Père Humberto Yáñez, professeur de théologie morale à l’Université grégorienne. Ils ont une approche de la vie qui se répercute sur l’éducation comme la santé, le travail comme la religiosité. »

La conversion écologique se double donc d’une conversion pastorale, l’inculturation allant jusqu’à envisager des adaptations liturgiques aux cultures amazoniennes et, donc, à réfléchir aux vocations autochtones tout comme à de nouveaux ministères : pour les femmes, mais aussi plus largement pour les laïcs et les jeunes. « De la consultation a émergé la souffrance des peuples par rapport au manque eucharistique », explique Mgr Fabio Fabene, sous-secrétaire du Synode.

Sans naïveté, le texte relève aussi les « résistances », citant ainsi « les intérêts économiques et un paradigme technocratique qui refusent toute tentative de changement ».

Il ne cache pas non plus qu’elles peuvent venir de l’intérieur même de l’Église. Dans son dernier livre, le cardinal Robert Sarah, préfet de la Congrégation pour le culte divin, mettait ainsi en garde : « Aucune autorité, aucun Synode pour aucune raison ni pour aucune nécessité régionale, ne pourra se donner le pouvoir de disjoindre purement et simplement sacerdoce et célibat sacerdotal ». « Il faut dépasser les positions rigides qui ne tiennent pas suffisamment compte de la vie concrète des gens et de la réalité pastorale pour répondre aux besoins réels des peuples et des cultures autochtones », répond le document.

Les débats risquent donc d’être agités. Et le succès du synode dépendra en partie de la capacité des différentes oppositions à se fédérer. La proposition du président brésilien Jair Bolsonaro, défenseur de l’agro-industrie, de convoquer un « contre-synode », n’a pas rencontré pour l’heure un grand écho. Mais, alors que le document de travail invite à une « alliance » avec ceux qui luttent en faveur des pauvres et de l’environnement, une « convergence des luttes » de ceux qui veulent l’échec de ce Synode n’est pas à exclure.

Synode pour l’Amazonie, un défi pour toute l’Église

Alors que se réveillent des craintes face au Synode pour l’Amazonie, qui se tiendra en octobre 2019 au Vatican, un colloque à l’Université grégorienne vient de souligner combien les défis de l’Amazonie concernent toute l’Église et le monde entier.

  • Journal La Croix Nicolas Senèze, le 19/05/2019

Il y a quelques mois, le père David Romero, responsable des jésuites pour l’Amazonie brésilienne, s’est rendu dans une petite communauté où « aucun prêtre n’était venu depuis dix ans ». « Je suis allé célébrer la messe dans un village où il ne restait plus qu’une seule famille catholique, raconte pour sa part le jésuite péruvien Pablo Mora. Mais toutes les autres familles, qui étaient devenues évangéliques, sont venues car elles avaient faim de l’eucharistie. Nous sommes devant des populations pastoralement abandonnées. »

Avec la menace écologique, cette question de la présence de l’Église devrait être au cœur du Synode sur l’Amazonie convoqué par le pape en octobre prochain au Vatican. Elle a aussi été largement abordée lors d’un colloque, jeudi 16 mai, à l’Université grégorienne à Rome.

« Les peuples d’Amazonie demandent à l’Église d’être présente », résume Mauricio Lopez, secrétaire exécutif du Réseau ecclésial panamazonien (Repam) qui a organisé ces derniers mois 260 « moments d’écoute » rassemblant 22 000 personnes à travers les neuf pays de l’Amazonie. Une zone dans laquelle il voit, avec ses immenses ressources et son influence sur le climat mondial, « la deuxième région géopolitique du monde après le Moyen-Orient ».

Suffisant pour justifier l’organisation d’une assemblée spéciale du Synode ? Nommé par François rapporteur général de ce Synode, le cardinal Claudio Hummes, ancien archevêque de Sao Paulo (Brésil) et président du Repam, estime que oui.

« L’Amazonie n’a jamais été aussi menacée qu’aujourd’hui », affirme-t-il, mettant en cause le « paradigme technocratique » qui a, peu à peu, mis au second plan l’être humain au profit d’un « néocolonialisme économique » se manifestant notamment dans l’avidité des entreprises agricoles ou d’extraction.

« À cause de sa foi dans le Créateur et de l’Incarnation du Christ, l’Église se doit d’assumer le soin de la maison commune », estime le cardinal Hummes, mettant en avant le visage de l’Église en Amazonie qui se met « à l’écoute du cri des pauvres et du cri de la Terre ». « Bien sûr, à cause des grandes distances qui empêchent les prêtres de rejoindre les communautés, ce n’est pas facile, mais cela nous montre l’importance d’avoir une Église inculturée », ajoute-t-il.

D’où les craintes, chez certains, que le Synode sur l’Amazonie puisse conduire à une remise en cause du sacerdoce, la fin du célibat ecclésiastique ou à l’ordination de femmes. « Il nous faut plutôt changer de logiciel », estime le père Mora, tandis que le père Romero plaide pour « une spiritualité écologique qui soit l’occasion d’une conversion personnelle et communautaire pour cultiver le bien vivre comme projet d’harmonie entre Dieu, les peuples et la nature ».

« Les peuples autochtones représentent une alternative pour notre société », affirme de son côté le cardinal Pedro Barreto, archevêque de Huancayo (Pérou), qui a découvert l’Amazonie quand il y est devenu évêque en 2001. « Je ne connaissais que le petit et sale Rimac qui coule à Lima : j’ai découvert ce qu’était un fleuve, comment il faisait vivre les peuples autour de lui et la joie qu’ils en ressentaient », raconte-t-il, retenant de « l’identité amazonienne » que « le plus important est d’être avant d’avoir ». « Je suis convaincu qu’il faut “amazonifier” l’Église et “Laudatosiser” la société », résume-t-il.

Ce qui ne va pas sans résistance. Le nouveau président brésilien Jair Bolsonaro, qui considère que les droits des peuples indigènes sont un obstacle à la libre exploitation de l’Amazonie, a ainsi récemment fait part de sa préoccupation face à ce Synode, tandis qu’un de ses conseillers estimait qu’il interfère avec « la souveraineté nationale du Brésil ».

Pour le cardinal Barreto, ces peurs révèlent que l’Église est sur le bon chemin. « L’Évangile rappelle que “les fils de ce monde sont plus habiles que les fils de la lumière”. Or, aujourd’hui, on voit que les fils de ce monde – l’argent, les grands intérêts – semblent un peu préoccupés. Cela me fait penser que le pape réveille l’Église de sa léthargie : nous ne sommes plus dans les documents mais dans l’action. »

Le document préparatoire, publié en juin dernier, invitait à dessiner les contours d’une « Église au visage amazonien » et à « proposer de nouveaux ministères », y compris pour les femmes.

Alerte rouge : le texte du synode sur l’Amazonie est une monstrueuse compilation !

Source

Ce texte est une monstrueuse compilation de tout ce que la théologie de la libération a produit depuis 1972. Aucun commentateur que ce soit Vatican News avec Olivier Bonnel et Cristiane Murray ; le commentaire de la Fraternité saint Pie X ; l’inénarrable cardinal Hummes ; l’évêque français de Guyane ; La Croix ou Famille Chrétienne ! RIEN ni PERSONNE ne s’est interrogé sur l’origine de ces revendications dont la majorité porte atteinte à l’intégrité de la foi catholique !

Nous sommes en présence d’une compilation des principaux auteurs suivants : Ivan Illich, François Houtart et Leonardo Boff.

Ils ont fourni (IlIich et Houtart sont décédés) depuis plus de quarante ans toute la matière du synode. Elle a été diffusée surtout en portugais au Brésil par une multitude de brochures et de fascicules et de livres. Pour la célébration de l’eucharistie, « A Eucaristia nas comunidades ecclesiais de base » et douze cahiers de base y compris pour la formation des prêtres ! Il existe déjà plus de vingt messes indigénistes ; Et une bande dessinées pour « Nos Célébrations de la parole !

L’écologie est une reconversion de Houtart et de Boff ! Ce dernier a participé à la demande du pape à la rédaction de Laudato Si.

Tout cela depuis l’archevêché de Sao Paulo et le cardinal ARNS admirateur de Fidel Castro auquel il a envoyé des félicitations pour les 25 ans de la révolution cubaine ! Les éditions qui publient tout cela sont les éditions Paulinas

En 1983, Frei Betto, le porte plume de Fidel Castro anime la 5ème rencontre des communautés de base. Il y a 35 évêques brésiliens !

Sans parler de la théologie féministe !

Les catholiques marchent sur la tête ! Ils râlent contre le pape mais refusent d’identifier l’origine de ses déviances. Opposer aux divagations pontificales la foi et la discipline de l’Église ne sert à rien. Il se moque des dogmatistes ! Mais révéler le vrai visage de son idéologie, ça il ne supporte pas (cf. les turpitudes homosexuelles)

13ème règle de discernement des esprits ; « l’ennemi de la nature humaine… ne pourra réussir dans son entreprise pernicieuse, puisque ses astuces évidentes sont découvertes ».

La préparation du synode par les agents du grand remplacement de l’Église Catholique

La condamnation décisive comme hérétique et schismatique du texte préparatoire du synode a été prononcée par le cardinal Brandmüller. Il avait déjà signé le texte des Dubia avec le cardinal Burke et deux autres cardinaux aujourd’hui décédés.

Malgré les dénégations du cardinal Kasper, une réunion s’est bien tenue dans les faubourgs de Rome avec une forte participation allemande, jésuite et d’ONG.( Maison Notre Dame Mère de Miséricorde). Il s’agit de préparer l’actualisation du synode en Allemagne notamment pour ce qui concerne les prêtres mariés et l’accession des femmes au sacerdoce.

D’après ce que le cardinal Kasper a dit à La Croix, le choix des ordinations serait laissé à l’appréciation des conférences épiscopales.

La liste des 30 personnes de cette activité parallèle est révélatrice de la manœuvre bergoglienne.

Parmi les participants, quatre sont jésuites. On pourra dire qu’ils ne sont que quatre sur trente ! Lorsqu’on a étudié l’activité des jésuites en Amérique latine depuis le Concile, notamment lors des réunions du CELAM de Medellin, de Puebla et d’Aparecida, on peut être certain que leur activité sera aussi destructrice lors du synode !

Pour s’en convaincre, la participation du cardinal jésuite Pedro Barreto, archevêque de Huancayo n’est pas anodine ! Il a été fait cardinal le 28 juin 2018, il est vice- président du REPAM (Réseau Ecclésial Américain Panamazonien). Cette institution est, à elle seule, l’ancrage de la politique du Vatican sur l’Amazonie et la récente élévation au cardinalat de Barreto montre à l’évidence que cette nomination n’est pas un hasard par rapport au synode !

Quatre autres membres du REPAM étaient présents : Le rapporteur du Synode le cardinal Hummes, président du REPAM, avec un pied au Brésil et un en Allemagne. Pedro Hugh coordinateur du REPAM, Irlandais. Mauricio Lopez secrétaire général de REPAM équatorien, et Romina Gallegos coordinatrice REPAM de l’Equateur.

Autres jésuites : le père Michael Czerny co-secrétaire du synode (canadien), Victor Codina, libérationniste, père Fernando Roca Alcazar, champion de la défense de la nature ; Felipe Jaled Ali Modad Aguilar, appartient à l’aile radicale des jésuites mexicains.

A cette brillante brochette et partageant la religion rejetée par le cardinal Brandmüller, il faut ajouter : le père Paolo Suess présenté sous l’appellation « expert en théologie de la libération » (germano- brésilien), Agenor Brighenti théologien de Louvain son nom est partout cité dans les études de la théologie de la libération. Et enfin le dernier survivant avec le père Scannone, du grand mensonge de la théologie du peuple, chantre du prêtre argentin révolutionnaire Lucio Gera professeur et inspirateur de Jorge Bergoglio.

Le commentaire des noms cités serait incomplet si on omettait les responsables d’ONG catholiques allemandes qui financent depuis des décennies toute cette révolution. L’évêque de Essen, Franz-Josef Overbebeck président de Adveniat, Mgr Josef Sayer, ancien directeur de Misereor.

Pour mémoire les autres ONG catholiques qui financent depuis des lustres la révolution dans l’Église : CCFD (France), CRS, Catholic Relief Service (États- Unis), Paix et développement (Canada). Nous avons publié en son temps tous ces organismes qui ont financé, entre autres, la révolution sandiniste.

Il faut être stupide ou complice pour ne pas voir qu’une telle réunion en appui au synode officiel est la preuve d’une organisation méthodique et d’une conspiration pour la destruction de l’Église catholique.