Pour sanctifier le quatrième dimanche de l’avent, nous vous proposons le grégorien du jour, les mystères glorieux en union avec l’Enfant Jésus, quelques cantiques.
Voici un sermon dont j’espère que vous aurez autant de satisfaction à l’écouter que j’en ai eu à le prêcher. “Oh, qu’il et bon le Bon Dieu !” disait notre bon Père Barrielle que j’ai tant estimé.
Par l’intermédiaire du Dicastère pour la promotion du développement humain intégral, le Vatican promeut une alliance en faveur d’un “capitalisme inclusif” avec les Rothschild, les Rockefeller et certains des plus grands dirigeants d’entreprises du monde, dont Lynn Forester de Rothschild, fondatrice du Conseil et directrice d’Inclusive Capital ; Ajay Banga, président et directeur général de Mastercard ; Rajiv Shah, président de la Fondation Rockefeller, ou Oliver Bäte, président du conseil d’administration d’Allianz SE, afin de déployer un système de “capitalisme inclusif” qui intègre des principes éthiques dans la politique des entreprises et des investissements.
Dans son entretien au média Brut donné le 5 décembre dernier, en plus de considérations démagogiques relevant du « café du commerce », le président Macron a enfilé les truismes, aligné les lieux communs et procédé à des généralisations à la fois abusives et erronées. Ainsi quand il déclara :
L’ancienne présidente de la république du Chili, Michelle Bachelet, s’est exprimée le 1er décembre lors d’un événement en ligne organisé par la Grande Loge du Chili pour honorer la Déclaration universelle des droits de l’homme, sous l’égide du Haut Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme
Avant d’introduire le sermon, je vous rappelle la retraite de saint Ignace du mardi 29 décembre, midi, au dimanche 3 janvier à 14 heures.
Maintenant que nous avons bien compris ce qu’est l’Eucharistie, à savoir le Christ présent dans l’immolation de sa Passion, nous pouvons nous en nourrir avec profit.
N.B. L’auteur ayant placé son commentaire sur l’Immaculée Conception au premier samedi de l’avent, il faudra permuter demain avec le commentaire du mardi de la deuxième semaine.