Bénédiction de couples irréguliers et …

Nous soumettons à votre attention cet article de Vatican News, qui montre clairement la manière de procéder de Bergoglio et de ses acolytes : affirmer le blanc-gris et autoriser le noir.

Mais, avant que vous lisiez ce texte, voici quelques réponses à ces infamies

Presque à chaque page de l’Évangile Jésus brise les traditions, la respectabilité… Justement, il brise les fausses traditions des pharisiens, c’est-à-dire des pécheurs qui méprisent la loi. Loin de les accueillir avec bienveillance, il les traite de race de vipères et de sépulcres blanchis. Lui, au contraire, respecte la loi et les prophètes : je ne suis pas venu abolir la loi, mais l’accomplir.

Il a permis à la pécheresse de lui laver les pieds… Mais il ne la laisse pas dans son péché. Il voit son cœur sincère, sa contrition profonde, son humilité et il lui remet ses péchés. Marie-Madeleine n’est plus la même, de pécheresse possédée par sept démons, la voilà sainte et elle suivra Jésus jusqu’au pied de la croix. Visiblement, la différence entre l’état de grâce et l’état de péché mortel échappe à Bergoglio. Prions pour sa conversion.

Il n’a pas condamné la femme adultère Mais il lui a dit : « Va et ne pèche plus. »

Il a dit qu’il était venu pour les malades Mais il ne se contente pas de les accueillir, il ne bénit pas leur maladie, il leur rend la santé.

Miséricorde qui leur était offerte sans conditions préalables Au contraire, Jésus pose toujours la condition de la foi avant de faire un miracle. « Crois-tu ? Tout est possible pour celui qui a la foi. »

Quant à celui qui, invité aux noces, a osé y entrer sans le vêtement nuptial, c’est-à-dire sans la grâce, Jésus ordonne qu’il soit jeté dehors et livré au feu, là où sont les pleurs et les grincements de dents.

Qui demandent humblement à être bénis Celui qui demande humblement se soumet. Celui qui refuse de se soumettre n’est pas humble, mais orgueilleux.

La vision pastorale du pape François Ce document est présenté comme doctrinal d’une particulière importance et non comme pastoral. Bergoglio est donc un hérétique qui prétend justifier son hérésie par l’Évangile. Dans l’Église catholique, la pastorale découle de la doctrine, pour l’Église conciliaire, la doctrine est à la remorque de la « pastorale », c’est à dire de toutes les dérives.

S’apparentent davantage à des gestes de dévotion populaire… Les dévotions populaires qui ne sont pas fondées sur la doctrine, le culte des saints et la morale sont des superstitions, des idolâtries, toutes inspirées par les démons.

Prions beaucoup pour les victimes des mensonges de Bergoglio et de ses complices. Non seulement ce document et les bénédictions qui vont suivre enfonceront les pécheurs dans leur péché, mais c’est une condamnation de tous ceux qui travaillent courageusement à s’en sortir. Comment, avec cela, les adolescents pourront-ils percevoir la gravité du vice solitaire ?

Et que feront les prêtres ? Les plus courageux refuseront de telles bénédictions et s’opposeront à cette fausse doctrine. Ils seront chassés par leurs évêques. Qui les soutiendra ? Les timorés revendiqueront le droit de ne pas approuver tout cela en contrepartie du droit pour les autres de l’approuver. C’est déjà le cas pour beaucoup de partisans de la messe traditionnelle dite « rite extraordinaire » qui admettent qu’il existe un rite ordinaire.

Les mauvais ne cachent pas leur joie :

@JamesMartinSJ, membre du Synode

La nouvelle déclaration du Vatican « Fiducia supplicans » constitue une avancée majeure dans le ministère de l’Église auprès des personnes LGBTQ et reconnaît le profond désir de nombreux couples catholiques de même sexe de bénéficier de la présence de Dieu dans leurs relations d’amour. Il s’agit également d’un changement…


Déclaration doctrinale ouvrant la voie aux bénédictions pour les couples « irréguliers »

Avec la déclaration doctrinale Fiducia supplicans du Dicastère pour la Doctrine de la Foi, approuvée par le Pape, il sera possible de bénir des couples formés par des personnes du même sexe, mais en dehors de toute ritualisation et imitation du mariage. La doctrine sur le mariage ne change pas, la bénédiction ne signifie pas l’approbation de l’union.

Vatican News

Face à la demande de bénédiction de deux personnes, même si leur situation de couple est « irrégulière », il sera possible au ministre ordonné d’y consentir. Mais sans que ce geste de proximité pastorale ne contienne des éléments ressemblant de près ou de loin à un rite de mariage. C’est ce qu’affirme la déclaration Fiducia supplicans sur le sens pastoral des bénédictions, publiée par le Dicastère pour la doctrine de la foi et approuvée par le pape. Un document qui approfondit le thème de la bénédiction, en distinguant les bénédictions rituelles et liturgiques des bénédictions spontanées, qui s’apparentent davantage à des gestes de dévotion populaire : c’est précisément dans cette deuxième catégorie que nous envisageons aujourd’hui la possibilité d’accueillir également ceux qui ne vivent pas selon les normes de la doctrine morale chrétienne, mais qui demandent humblement à être bénis.

Il y a 23 ans, au mois d’août, l’ancien Saint-Office n’avait pas publié de déclaration (la dernière datant de 2000, Dominus Jesus), un document d’une grande valeur doctrinale.

Fiducia supplicans s’ouvre sur une introduction du préfet, le cardinal Victor Manuel Fernández, qui explique que la déclaration approfondit la « signification pastorale des bénédictions », permettant « d’élargir et d’enrichir sa compréhension classique » à travers une réflexion théologique « basée sur la vision pastorale du pape François ». Une réflexion qui « implique un véritable développement par rapport à ce qui a été dit sur les bénédictions » jusqu’à présent, en incluant la possibilité « de bénir les couples en situation irrégulière et les couples de même sexe, sans valider officiellement leur statut ni modifier de quelque manière que ce soit l’enseignement pérenne de l’Église sur le mariage. »

Un cœur de pasteur qui ne ferme jamais la porte

L’origine de la Déclaration est évangélique. Presque à chaque page de l’Évangile, Jésus brise les traditions et les prescriptions religieuses, la respectabilité, les conventions sociales. Et il pose des gestes qui scandalisent les bienveillants, les « purs » autoproclamés, ceux qui se font un bouclier de normes et de règles pour écarter, rejeter, fermer les portes. Presque à chaque page de l’Évangile, nous voyons les docteurs de la loi essayer de mettre le Maître sur la sellette avec des questions tendancieuses, pour ensuite s’indigner face à sa liberté débordante de miséricorde : « Il accueille les pécheurs et mange avec eux ! »

Jésus était prêt à courir vers la maison du centurion de Capharnaüm pour guérir son serviteur bien-aimé, sans se soucier de se souiller en entrant dans la demeure d’un païen. Il a permis à la pécheresse de lui laver les pieds sous les regards critiques et méprisants des invités, incapables de comprendre pourquoi il ne l’a pas repoussée. Il a regardé et appelé le publicain Zachée qui se tenait accroché aux branches du sycomore, sans s’attendre à ce qu’il se convertisse et change de vie avant de recevoir ce regard miséricordieux. Il n’a pas condamné la femme adultère, qui était passible de lapidation selon la loi, mais il a désarmé les mains de ses bourreaux en leur rappelant qu’eux aussi – comme tout le monde – étaient des pécheurs. Il a dit qu’il était venu pour les malades et non pour les bien-portants, il s’est comparé à la figure singulière d’un berger prêt à laisser 99 brebis sans surveillance pour aller chercher celle qui s’est égarée. Il a touché le lépreux en le guérissant de sa maladie et de son statut de paria « intouchable ». Ces « rejetés » ont croisé son regard et se sont sentis aimés, bénéficiaires d’une étreinte de miséricorde qui leur était offerte sans conditions préalables. Se découvrant aimés et pardonnés, ils ont pris conscience de ce qu’ils étaient : de pauvres pécheurs comme les autres, en quête de conversion, mendiant pour tout.

Et ainsi de suite…