Dans son bulletin Apostol de juillet, M. l’abbé Rousseau écrit :
« …Avant d’achever ces mots, je vous fais part, bien chers fidèles, de mon départ prochain du Prieuré. Ce furent deux années de beau ministère paroissial et scolaire parmi vous. Je vous remercie pour les preuves de confiance et d’amitié que vous m’avez accordées jusqu’à ce jour inclus. Vous vous rappelez des circonstances délicates dans lesquelles je suis arrivé, fin avril 2015. Avec la grâce de Dieu, le bateau n’a pas coulé. A présent… je viens de recevoir une nouvelle feuille de route : ce sera Bailly, près de Versailles. Votre prochain prieur sera l’abbé Mavel. Il arrive des Antilles… »
Mais un correspondant m’informe que dans un SMS de ce 22 juin M. l’abbé Rousseau écrit :
« …Oui je suis puni… avec la fameuse lettre des doyens les trois abbés [les trois autres abbés du prieuré, vicaires de M. l’abbé Rousseau] se sont ligués et je dégage, vicaire à Versailles. Mais Christus vincit ! »
Dans ces conditions, pourquoi M. l’abbé Rousseau accepte-t-il la punition ? Mgr de Galarreta aurait dit que ceux qui acceptent leur mutation-punition prouvent par là qu’ils reconnaissent être coupables. Je ne sais s’ils le reconnaissent, mais ils agissent en méprisant leur bon droit. Bon droit, d’ailleurs, qui n’est pas le leur, mais celui de leurs fidèles et de l’Église. Ce n’est pas avec cela que Christus vincit, que le Christ vaincra.