« Nous demandons que l’Esprit du Ressuscité, qui est l’Esprit d’amour et de paix, nous enseigne cette route et nous aider à y parvenir. Je demande pour vous tous la bénédiction de Dieu – Dieu le Père de nous tous, Père de toutes les confessions – et je l’invoque en particulier pour ceux qui ont perdu la vie en faisant leur service et pour leurs proches. » C’est ainsi que le pape a salué la Croix-Rouge italienne, lors de l’audience du samedi 27 Janvier.
Certes, l’évangile nous annonce que Dieu est le Père de tous les hommes, mais il nous annonce aussi que tous ne seront pas héritiers, car, pour hériter, le fils doit reconnaître son père et l’honorer. Pour cela, les hommes doivent se convertir, reconnaître Jésus-Christ le Fils premier-né du Père, s’unir à sa Passion pour entrer avec lui dans la gloire. En dehors de l’unique vraie Eglise, toutes les autres confessions religieuses ne sont que des tromperies diaboliques pour détourner les hommes de leur Père.
Le diable a vraiment trouvé un bon allié !
Il est bon de relire les paroles de Notre Seigneur, le Fils du Père, en saint Jean, 14, 15 : « Si vous m’aimez, gardez mes commandements.Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur, afin qu’il demeure éternellement avec vous, l’Esprit de vérité, que le monde ne peut recevoir, parce qu’il ne le voit point et ne le connaît point; mais vous, vous le connaissez, car il demeure avec vous, et il sera en vous. Je ne vous laisserai pas orphelins, je viendrai à vous. Encore un peu de temps, et le monde ne me verra plus; mais vous, vous me verrez, car je vis, et vous vivrez aussi. En ce jour-là, vous connaîtrez que je suis en mon Père, que vous êtes en moi, et que je suis en vous. Celui qui a mes commandements et qui les garde, c’est celui qui m’aime ; et celui qui m’aime sera aimé de mon Père, je l’aimerai, et je me ferai connaître à lui. Jude, non pas l’Iscariote, lui dit : « Seigneur, d’où vient que vous vous ferez connaître à nous, et non au monde ? » Jésus lui répondit : Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole, et mon Père l’aimera ; nous viendrons à lui, et nous ferons notre demeure chez lui. Celui qui ne m’aime pas ne garde point mes paroles. Et la parole que vous entendez n’est pas de moi, mais du Père qui m’a envoyé. »