« Je suis le chemin, la vérité et la vie.
Personne ne vient au Père si ce n’est par moi » (Jn 14,6).
Bergoglio, avec ses déclarations impies adressées aux jeunes de Singapour selon lesquelles « toutes les religions sont un chemin vers Dieu », offense la Majesté de Dieu, trahit la Révélation divine, piétine les principaux Mystères de notre Foi et annule le Sacrifice rédempteur du Fils de Dieu, Notre Seigneur Jésus-Christ.
Ses paroles mensongères sont particulièrement insidieuses car elles s’adressent aux nouvelles générations, que Bergoglio trompe en leur faisant croire qu’il est possible d’être sauvé sans reconnaître que Jésus-Christ est le Fils de Dieu, l’unique Sauveur, et que son Église est l’unique arche de salut. Je suis la porte (Jn. 10 :9) dit Notre Seigneur de lui-même. Nier cette vérité, c’est apostasier de la foi et piétiner la croix. Le faire depuis le plus haut seuil est un scandale d’une gravité sans précédent, qui n’est surpassé que par le silence craintif ou complice de la majorité de l’épiscopat.
La « passio Ecclesiæ » – passion de l’Église – s’accomplit dans la trahison d’une autorité usurpée, d’un nouveau Sanhédrin tout aussi apostat.
Quant à Mgr Strickland, il a déclaré qu’il y a manifestement un « effort militant pour détruire l’Église ».