Le 1er octobre 2024, la 2e session du « synode sur la synodalité » s’ouvrira par une cérémonie pénitentielle présidée par le Bergoglio. Un pas de plus dans la subversion.
Le Secrétariat du synode présente ainsi cette cérémonie1 :
« La liturgie pénitentielle entend disposer les travaux synodaux vers le début d’une nouvelle manière d’être Église.
Dans la Basilique Saint-Pierre, la célébration pénitentielle, présidée par le Pape François, prévoit un temps d’écoute de trois témoignages de personnes ayant souffert du péché : le péché d’abus ; le péché de guerre ; le péché d’indifférence face au drame présent dans le phénomène croissant des migrations. Ensuite, l’assemblée procédera à la confession de certains péchés. (…) Celui qui exprime la demande de pardon le fera au nom de tous les baptisés. En particulier, les péchés suivants seront confessés :
• le péché contre la paix
• le péché contre la création, contre les peuples indigènes, contre les migrants
• le péché d’abus
• le péché contre les femmes, la famille, les jeunes
• le péché de la doctrine utilisée comme des pierres à jeter
• le péché contre la pauvreté
• le péché contre la synodalité / manque d’écoute, de communion et de participation de tous
Au terme de cette confession des péchés, le Saint-Père adressera, au nom de tous les fidèles, la demande de pardon à Dieu et aux sœurs et frères de toute l’humanité. »