Le rapport Sauvé sur les crimes p…philes du clergé : l’inversion accusatoire

Celle qui a synthétisé le rapport Sauvé est une féministe d’ultra gauche qui explique que les parents ont tort d’être angoissés à l’idée que les enfants regardent du porno, car il est temps que les pères et les mères cessent de s’occuper de la sexualité de leurs petits. C’est cette femme qui signe le Rapport Sauvé.

Mais les plus coupables ne sont-ils pas les évêques français — et le pape qui les soutient — d’avoir demandé un tel rapport à une ennemie de la foi et de la morale catholique. Qu’on ne nous dise pas qu’ils ignoraient le mensonge que constituait la méthode de travail !

Préparez-vous à la persécution !

Une très bonne analyse de M. l’abbé Salenave.